Devoir sentir les fesses de chacune
et chacun que je croise je crois
que je préférerais encore ça
à devoir faire la conversation
à voisines et voisins côtoyés
superficielle et provisoirement.
Même si c’est vrai que le temps
change un peu tout le temps par ici,
qu’il serait bon que nos glandes anales
sachent partager les informations minimales
nécessaires à la vie en groupe !
En gros, que tout va bien.
Et qu’on puisse garder le langage
pour chanter et ron, et ron petit patapon.