Je voudrais ne pas être comparé à Houellebecq,
même si c’est vrai qu’il a fait des trucs bien
à l’ère du Minitel. C’est pas parce que
je suis comme lui asocial, dépressif et
que j’écris des cantiques à ma queue
qu’il faut nous mettre lui et moi en tête à tête :
d’abord, je suis plus grand et de moi
il ne verrait que le nombril ;
ensuite, et je me permets d’insister,
moi j’existe alors que lui est surtout
un reflet promené le long d’un caniveau ;
et enfin moi je ne suis pas imposable.
Alors, inspecteur, pourrais-je préférer ne pas ?