La mise à jour de mes logiciels
d’écriture, traduction et correction
prend plus de temps que d’écrire un poème
sur du papier avec un stylo.
Il me faudrait seulement quelques bouteilles,
pigeons ou dauphins pour le transporter,
ce griffonnage sans intérêt,
jusqu’aux nombreux lecteurs avides
et lointains qui s’en délecte
-raient tout aussi bien.